Dans le cadre de la présente saisine, le CESC insiste sur les points suivants :
- la mise en place d’un titre de garde-nature ;
- la définition du Rahui au sein de la réglementation ;
- la réaffectation des taxes T.E.A.P. et T.E.R.V vers la politique de l’environnement ;
- la nécessaire concertation entre le pays, les communes et les groupes de danse devant aboutir à la programmation de la construction de salles adaptées et insonorisées et à la réduction des nuisances sonores dans le cadre d’activités relevant des expressions culturelles et des traditions populaires.
Tel est l’avis du CESC sur le projet de « loi du pays » relative au code de l’environnement de la Polynésie française